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Les bonnes pratiques pour réussir un investissement dans la location meublée

Sommaire

Professionnelle ou non, la location meublée est aujourd’hui l’un des investissements immobiliers les plus prisés, notamment dans une grande ville dynamique. Et pour cause, elle offre des loyers nettement plus élevés que la location nue, mais également une fiscalité plus avantageuse. Mais pour tirer un maximum de profit de ce type de placement immobilier, quelques précautions sont nécessaires.

Trouver la bonne affaire immobilière

Première commune française en matière de superficie, 4e en nombre d’habitants, capitale européenne de l’industrie aérospatiale, vivier de l’emploi des plus actifs et ville étudiante par excellence, Toulouse possède par exemple, tous les atouts pour y réaliser un investissement locatif meublé. Cependant, tous les quartiers de la ville rose ne se valent pas. En effet, certains emplacements sont plus prisés que d’autres.

C’est le cas notamment du centre historique, des Carmes, de Saint-Étienne et de la zone avoisinant le Capitole. De même, certains biens immobiliers sont plus recherchés que d’autres. Les studios et les deux-pièces sont ceux qui trouvent le plus rapidement preneurs. Par ailleurs, le calcul rendement locatif diffère selon que le bien soit ancien ou neuf. Pour mettre toutes les chances de votre côté dans la recherche de la perle rare, faites appel à des professionnels aguerris à l’instar de Lodgis, le spécialiste de la location meublée sur Toulouse.

location meublée toulouse

Sélectionner les bons locataires ou opter pour la gestion locative

Une fois le bien trouvé, que ce soit une location d’appartement meublé à Toulouse, Lyon ou même Bordeaux, il vous faudra choisir minutieusement votre locataire. Pour vous assurer de sa solvabilité, et par conséquent de la réussite et de la rentabilité de votre investissement, certaines garanties sont indispensables. Privilégiez surtout les candidats qui disposent de revenus équivalents à au moins 3 fois le montant du loyer et qui peuvent fournir une caution.

Toutefois, pour parer à toute éventualité, n’hésitez pas à souscrire à une assurance loyers impayés. Si vous n’avez pas le temps de vous occuper de votre patrimoine, vous avez la possibilité de le mettre en gestion locative. Moyennant rémunération, des professionnels de l’immobilier prendront en charge la recherche de locataire pour votre bien ainsi que toutes les démarches associées. De manière générale, le coût de ce type de service se chiffre entre 5 à 10 % de vos recettes locatives, charges comprises.

Choisir le régime fiscal le plus adapté

Si votre recette locative annuelle est inférieure à 23 000 € ou représente moins de la moitié de l’ensemble de vos revenus, vous serez considéré comme étant un loueur en meublé non professionnel (LMNP). Pour déclarer vos revenus locatifs, vous pourrez alors profiter soit d’un abattement forfaitaire de 50 % sur vos recettes en choisissant le régime micro BIC, soit d’une déduction des charges et de l’amortissement du bien immobilier, des meubles et des équipements en choisissant le régime réel.

Par contre, si le montant annuel du loyer perçu excède 23 000 € et dépasse le total de vos autres revenus, vous hériterez par défaut du statut de loueur en meublé professionnel (LMP). Pour hériter du statut de loueur meublé professionnel (LMP), les conditions suivantes doivent être réunies :

– Le montant annuel du loyer perçu doit dépasser 23 000 € et le montant total de vos autres revenus.

– L’inscription au Registre du commerce et des sociétés (RCS).

Vous bénéficierez alors d’une imputation des déficits, du régime des plus-values professionnelles et d’une exonération de l’impôt sur la fortune immobilière.