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Investissement loi Pinel : 3 pièges à éviter

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Dispositif dédié à la défiscalisation, la loi Pinel a été mise en place pour réduire les impôts à la condition d’un investissement locatif dans l’immobilier neuf. Pour réussir votre projet, découvrez dans cet article les pièges que vous devez éviter.

Le choix de l’emplacement de votre bien immobilier

La zone géographique où vous allez faire votre investissement immobilier tient une importante place. C’est pour cette raison que ce choix ne doit pas être pris à la légère. Notez que plus la zone d’implantation possède un marché locatif assez tendu, plus vous aurez la possibilité de trouver facilement un locataire.

De ce fait, il vaut mieux privilégier les quartiers dynamiques, d’affaires ou d’étudiants pour un meilleur résultat avec la loi Pinel à Colmar. De nombreux critères entrent en jeu pour déterminer si le bien à proposer se trouve dans une zone tendue, de manière effective : évolution démographique, taux de vacance des habitats, nombre de nouvelles constructions immobilières, etc.

Une importante augmentation des loyers

Pour information, les loyers dépendent principalement des zones géographiques où se situent les biens immobiliers. Toutefois, il est très fréquent que le prix des loyers locaux soit bas, d’environ 10 à 20 % à ce coût plafond.

Ainsi, il peut alors être dangereux pour un investisseur de se référer aux tarifs des loyers plafonds. Dans certain cas, il se peut que vous soyez amené à devoir mettre en location un bien immobilier à un prix plus bas. Cela peut impacter sa rentabilité. Cela peut en effet la diminuer. Il vous est alors conseillé de vous renseigner sur la réalité du marché immobilier local avant de lancer votre investissement. Cela vous permet de mieux vous situer.

Le taux de rendement

L’un des principaux dangers à éviter est de vous fier à un taux assez excédent par rapport à ceux du marché locatif pour ce qui est du rendement locatif . En effet, pour procéder au calcul de la rentabilité de votre prochain investissement, l’unique taux à considérer est le TRI.
Il s’agit du taux de rentabilité interne. Il assure la prise en compte de tous les flux d’ordre financier, qu’il s’agisse des loyers ou des charges pour dégager un meilleur taux de rendement annuel.

Notez que les autres méthodes de calcul ne sont pas très pertinentes. De ce fait, le taux de rendement brut se limite du calcul de rentabilité de votre bien immobilier en réalisant la comparaison du prix d’achat aux loyers perçus, sans pour autant prendre en compte les différentes charges.

Bien qu’il prenne en compte toutes les charges, le taux de rendement net n’a pas la possibilité de vous permettre d’apprécier l’optimisation de la qualité du bien sur toute la durée de la mise en location d’un habitat.